18 Mai 2015
Bon, alors, puisque Maillot Noir (éditions Goater) est sorti (enfin ça ne va plus tarder... avant ce week-end selon l'éditeur), petit pitch quand même :
Le Tour de France est de retour. De nouveau, il aborde les terres du cyclisme, l'Ouest et la Bretagne. Mais entre les forçats de la route et les experts en chimie de l'effort, il y a le panache, les espoirs de victoire et les défaites. Le Tour est un concentré d'humanité, de sang et de larmes, d'effort, de sueur et de drames. 11 juillet 2015. 8ème étape du Tour de France. Ville de départ: Rennes. Ville d’arrivée : Le Mûr de Bretagne. 179 kms durant lesquels tous les coureurs vont essayer de faire parler la poudre, d’accrocher la victoire et pourquoi pas, le maillot jaune. Une belle course, rien à dire. Sauf qu’en coulisse ou sur le bord de la route, tout peut arriver. 179 kms durant lesquels des vies vont basculer, certaines s’éteindre, d’autres prendre un sens unique duquel on ne revient jamais. Maillot Noir raconte l’histoire de ceux qui ont vu leur existence changer ce jour-là. Une étape pour un seul maillot : le noir. Celui qui était attribué au dernier du classement dans le Giro des années 50. Noir comme le polar. Les auteurs de Calibre 35 qui ont pris le départ sont : Stéphane Grangier, Léonard Taokao, Hervé Commère, Valérie Lys, Isabelle Amonou, Claude Bathany, Nathalie Burel, et moi. La préface, elle, est de Jean-Bernard Pouy, s'il vous plait...
Et comme pour toute sortie, une petite promo est nécessaire, le week-end prochain, je vais donc dégainer mon sergent-major.
Samedi 27 avril, à 11h00, dans le cadre de la 5ème édition de Augustes Pédales, deux comédiens proposeront une lecture du recueil de nouvelles. Elle sera suivie d'une petite dédicace. Ça vrai être marrant, sympa et bucolique. C'est à la Mézière, au nord de Rennes. Et ça vaut le coup de pédale.
http://stationtheatre.canalblog.com/
Dans l'après-midi, de 14h00 à 18h00, direction Saint-Malo et Étonnants Voyageurs sur le stand des éditions Goater. Ça sera peut-être moins bucolique mais sur un malentendu on peut toujours rigoler...